Francisco Randez, les scènes sexy et le célibat

L’animateur, entrepreneur et acteur Francisco Randez parle de nudité dans le dernier numéro du magazine 7 Jours. En effet, pour son rôle dans Cheval-Serpent sur ICI Tou.tv Extra, le comédien a dû tourner des scènes de nudité. S’il n’était pas certain que ça lui tentait avant l’audition, quand il a obtenu le rôle, il a accepté que ça fasse partie de son travail. « Comme je devais incarner un danseur nu, je ne m’attendais quand même pas à rester habillé! Je me suis dit que, si le fait de travailler avec le trio de feu que sont la productrice Fabienne Larouche, l’auteure Danielle Trottier et le réalisateur Sylvain Archambault, qui sont des sommités dans leur domaine, impliquait qu’il y aurait des scènes de nudité, fine! On n’a qu’une vie à vivre! Je ne pouvais pas passer à côté de cette expérience incroyable, juste par pudeur. Il faut sauter dans le train pendant qu’il passe, et si ça implique que les Québécois voient mes fesses, je n’ai aucun problème avec ça! » dit-il.

Francisco dit que sa carrière bat son plein et qu’il est chanceux d’avoir une bonne étoile. Si sa carrière ne fait que croître en ce moment, il en est autrement de sa vie amoureuse. En effet, après une relation amoureuse qui a duré cinq ans, Francisco est célibataire depuis un an. « Après la fin de cette relation, j’ai traversé une période de deuil. Puis, je me suis senti prêt à rencontrer, mais je trouve ça compliqué à l’ère des médias sociaux. Lorsque tu veux simplement discuter avec une femme, tu passes pour un weirdo, dans un monde où les rencontres défilent à la vitesse de l’éclair. Je suis donc ouvert à tomber en amour, mais je veux du vrai, de l’authentique, pas du superficiel », confie-t-il. Il sait d’ailleurs récemment ne plus aimer autant son célibat qu’avant… Francisco dit que s’il ne ferme pas la porte à avoir un enfant, il n’est pas prêt à devenir père pour l’instant.

À lire aussi:

Sophie Prégent parle de son rôle dans Cheval-Serpent

Les premières images de Cheval-Serpent nous rendent impatients que ça commence!

Crédit photo: Karine Paradis