Valérie Taillefer donne son opinion sur l’affaire Gab Roy.
La poussière commence à retomber après l’annonce de la poursuite de 300 000$ de Mariloup Wolfe contre le blogueur et humoriste Gabriel Roy, et plusieurs artistes se manifestent.
Ceux qui ont lu la fameuse lettre de Gab Roy savent que Mariloup Wolfe et Guillaume Lemay-Thivierge ne sont pas les seuls à y être mentionnés. Valérie Taillefer fait également l’objet de remarques désobligeantes pusique Roy parle d’elle comme de « l’ex-bi*** de Jean Airoldi ».
De toute sa grande sagesse, Valérie Taillefer y est allée d’un commentaire fort sensé sur sa page Facebook hier, en demandant aux grands médias d’arrêter de donner de la visibilité à Gabriel Roy.
Le Journal de Montréal rapporte ce segment en particulier: « Je demande aux Dutrisac, Lévesque et autres d’arrêter de lui donner la parole (…) ».
D’un autre côté, Nathalie Petrowski a publié un billet dans La Presse dans lequel elle affirme supporter l’initiative de Mariloup Wolfe, mais où elle précise sa pensée comme suit: « Je n’aime pas Gab Roy, mais j’aime encore moins le lynchage public dont il fait en ce moment les frais et qui permet à un paquet de gens, pas tellement mieux que lui, de se donner bonne conscience. »
Même Mike Ward y est allé de son commentaire, également sur Facebook:
« Je ne connais pas Gab Roy mais je ne crois pas que son but en écrivant la lettre était de blesser Mariloup Wolfe, je crois sincèrement que son but était de faire rire ses lecteurs.
Est-ce qu'il a réussi? Non. Mais est-ce qu'il devrait payer 300 milles dollars pour avoir écrit un mauvais gag? Non plus. Si à chaque fois qu'on écrivait un mauvais gag ça nous coûtait 300 milles, le gars qui a écrit la série LOL ; ) aurait de sérieux troubles financiers. »
À noter que Gabriel Roy vient de voir un autre de ses shows être annulé par la Commission des liqueurs de Granby suite à la réception de plusieurs lettres de menaces.
À noter également que Mariloup Wolfe sera une invitée sur le plateau de Tout le monde en parle ce dimanche.
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Crédit photo: Karine Paradis
