Les résidents de Fermont insultés par une chanson de Vincent Vallières! Petite controverse dans le monde musical! Vincent Valières, qui vient de lancer l’album Fabriquer l’aube, a insulté sans le vouloir les gens de Fermont, qualifiant de ville fantôme leur lieu de résidence dans une de ses chansons:
« J’ai pris la job à Fermont – C’est tout ce qui restait à faire – … J’espère que notre amour sera jamais comme ces villes fantômes – Abandonnées au nord à l’ombre – Comme tant de promesses oubliées… »
La mairesse de la ville, Lise Pelletier, s’indigne de la manière dont la ville est dépeinte dans la chanson. Vincent n’a pas tardé à répondre à ses commentaires expliquant que sa chanson se voulait plutôt comme un hommage aux travailleurs qui doivent s’expatrier pour gagner leur vie qu’une insulte envers les habitants. Vincent dit aussi que la chanson ne parle pas des résidents qui habitent à Fermont, mais plutôt des villes québécoises éloignées qui se sont vidées.
« Je tiens à dire que la chanson Fermont est une chanson d’amour qui raconte l’histoire d’un gars qui a quitté ses proches et sa famille pour aller travailler dans une ville du Nord. La chanson traite de l’ennui et du manque. Je suis sincèrement désolé si le propos de la chanson a pu offenser quelques personnes, ce n’était évidemment pas mon but en l’écrivant », a écrit Vincent Vallières sur sa page Facebook.
Crédit photo: Karine Paradis