Stéphane Laporte a l'incroyable don de nous émouvoir à travers ses paroles... et encore une fois, il vient chercher un petit quelque chose au fond de notre cœur dans son plus récent texte sur La PresseÀ l'enfant que je n'ai pas.

Ce qu'on retrouve au cœur de ce texte porte notamment à la réflexion, avec des éléments comme la solitude et l'isolement des personnes seules et des personnes âgées durant le temps des fêtes, ainsi que l'amour de nos proches, à ne jamais prendre pour acquis. « Je n’ai pas d’enfant. Ce n’est pas par choix. Vraiment pas. C’est juste que mes amours ne se sont jamais rendus jusque-là. Je sais qu’il me manque ce qu’il y a de plus beau. Je n’en suis pas malheureux. Ce sont les bonheurs perdus qui rendent malheureux. Les bonheurs inconnus rendent rêveurs. Pas de larmes dans mes yeux. Juste un peu de brume À Noël, la brume est plus dense. Plus épaisse. Le cœur s’embrouille. Tant que mon père et ma mère vivaient, je pouvais me dire que c’était moi, l’enfant de la fête. Le grand enfant. Mais mon père et ma mère sont disparus. Leur course est finie. Je me retrouve avec le témoin dans les mains. Et personne à qui le donner. Que le ciel vers lequel le tendre », écrit-il en introduction avant de vanter la chance qu'ont les parents.

Pour lire l'article en intégralité, rendez-vous juste ici, sur La Presse.

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