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Jean-Thomas Jobin est en deuil
Crédit: Karine Paradis

Jean-Thomas Jobin, 42 ans, vient de perdre sa mère Margo, 80 ans. L’humoriste s’est tourné vers les médias sociaux pour exprimer son amour envers sa mère décédée. Accompagnant une photo de sa maman et de son papa, aussi décédé, Jean-Thomas a écrit une longue publication sur son compte Facebook et une plus courte sur son compte Instagram. Dans le long texte, l’humoriste se vide le cœur sur la perte de sa mère, qui est décédée dimanche après une lutte de six ans contre la maladie.

Photo: Facebook de Jean-Thomas Jobin

« C’est avec un cœur immense de chagrin que je vous apprends le départ tard hier soir de ma tendre et adorée maman Margo, à l’âge de 80 ans, après une très courageuse lutte de 6 ans avec la maladie. C’est si dur. Si dur. Je peine à trouver les mots. Mais je vais essayer car je tiens à ce que la planète entière sache à quel point j’ai été un enfant enseveli d’amour. Dans ma tête, je croyais que ma mère atteindrait 100 ans. Peut-être parce que je le souhaitais si profondément. J‘ai donc l’impression que la vie me prive de 20 ans avec elle. Mais je tente de le voir du bon côté en me disant que la vie m’a choyé de sa douce et englobante présence maternelle pendant 42 ans. Je suis privilégié.

Malgré qu’elle était elle-même très malade, elle tenait à partir après mon cher papa, qui nous a quitté il y a 5 mois. Parce que le voyant mal en point, elle voulait prendre soin de lui jusqu’à la toute fin. Avec une générosité sans limites. S’oublier. S’oublier pour penser aux autres, c’est une chose que ma mère faisait avec une facilité déconcertante. Aimer sans condition, donner, aimer. Aimer avec tant de pureté, parce que l’amour était toujours son 1er réflexe. Comme le battement d’ailes l’est pour l’oiseau. Je me suis senti TELLEMENT AIMÉ. Dans des multiples mots. Dans des petits et gros gestes d’affection et de douceur. Une gigantesque doudou d’amour et de tendresse.

2017 continue d’être une année extrêmement éprouvante pour ma famille. Je veux souligner le courage et la force hallucinante de ma grande sœur Nathalie qui est d’une immense et touchante dévotion au travers tout ce que l’on vit depuis plusieurs années. Merci tellement d’être là.

Très chère Maman, malgré que tu seras dans mes pensées chaque jour, le manque sera gigantesque. Tu me manques déjà. Je me rassure en me disant que tes souffrances sont terminées et qu’hier, tu es partie paisiblement, dans un concert de mots d’amour, et que tu vas retrouver notre adorable Papa, ton cher François.

Je ne pourrai jamais remercier assez la vie de t’avoir eu comme Maman. Et je ne pourrai jamais te remercier assez pour tout ce que tu as fait pour moi. Tu as un cœur d’or. Comme je me plais souvent à dire: «Un être humain à cloner».

Je pourrais citer un grand nombre d’exemples de choses qui me manqueront, tels des trucs rigolos de mère absurdement inquiète qui fait le suivi sur l’étanchéité de ses pots de soupes. Mais ce qui me manquera le plus, c’est tes «je t’aime», lancés à des moments impromptus, avec un petit sourire, en plein milieu de rien. Comme si tu étais submergée par l’envie de le dire.

Alors maman, je te l’ai dit maintes et maintes fois mais je te le redis à l’instant, pas à l’impromptu mais avec une résonance fortement émue: Je t’aime. xx »

Le texte de Jean-Thomas est émouvant à souhait et il trouve les mots justes, malgré la gravité de la situation. On compatit avec lui! Perdre une mère, c’est probablement une des choses les plus difficiles qu’on peut vivre dans une vie, d’autant plus qu’il a perdu son père il y a quelques mois à peine. On souhaite beaucoup de courage et de résilience à l’humoriste pendant cette période difficile.

 

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Crédit photo: Karine Paradis

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